1. Données à rechercher

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Depuis plus d'1 mois :
  • mauvais planning du sommeil : heures du coucher et levers variables, temps passés au lit excessif, siestes... ;
  • abus d'alcool, nicotine, caféine, théine... ;
  • activités mentales, physiques ou émotionnelles trop proches du coucher ;
  • utilisation du lit à d'autres fins que le sommeil : tv, lecture, repas... ;
  • environnement de chambre à coucher peu propice au sommeil.
Depuis plus d'1 mois : présence d'un conditionnement avec identification d'un facteur s'opposant à l'endormissement ou induisant un état d'hyper-éveil :
  • angoisse de performance pour le sommeil ;
  • incapacité à s'endormir à une heure planifiée, mais sans aucune difficulté au cours de situations monotones ;
  • qualité du sommeil améliorée en dehors de la maison ;
  • activité mentale exacerbée au lit ;
  • tension somatique excessive
Depuis plus d'1 mois :
  • insomnie chronique avec quelques nuits normales ;
  • insomnie très sévère à la lecture de l'agenda du sommeil, avec des nuits sans sommeil et absence paradoxale de siestes diurnes ;
  • dysfonctionnement diurne plus modéré que ne le voudrait l'importance de la privation de sommeil ;
  • le sujet rapporte un éveil le plus fréquemment induit par des stimuli environnementaux, des pensées intrusives...
Depuis l'enfance :
  • début de l'insomnie dans l'enfance,
  • absence de facteur causal identifié,
  • absence de période de rémission.
Depuis plus d'1 mois :
  • pathologie mentale diagnostiquée
  • l'insomnie peut éventuellement précéder de quelques jours ou semaine l’émergence de la pathologie mentale.
  • L’échelle de fatigue de Pichot évalue la notion de fatigue physique. Associée à l’échelle d’Epworth, elle permet de distinguer une plainte de fatigue d’origine organique ou psychiatrique (score d’Epworth normal et score de Pichot élevé) d’un problème intrinsèque du sommeil (où les deux scores sont élevés).
Depuis plus d'1 mois :
  • pathologie médicale responsable d'une fragmentation du sommeil ;
  • pathologie médicale directement responsable de l'insomnie. Elle a débuté conjointement à la maladie et fluctue avec celle-ci
  • L’échelle de fatigue de Pichot évalue la notion de fatigue physique. Associée à l’échelle d’Epworth, elle permet de distinguer une plainte de fatigue d’origine organique ou psychiatrique (score d’Epworth normal et score de Pichot élevé) d’un problème intrinsèque du sommeil (où les deux scores sont élevés).
Depuis plus d'1 mois :
  • abus ou dépendance à une drogue favorisant une fragmentation du sommeil (intoxication ou sevrage) ;
  • médicaments ou aliments favorisants une fragmentation du sommeil ;
  • insomnie associée à la période d'utilisation, d'intoxication ou de sevrage.
  • L’échelle de somnolence d’Epworth est largement utilisée et validée dans l’évaluation des apnées du sommeil en particulier (score élevé dans le SAOS).
  • L’échelle de fatigue de Pichot évalue plutôt la notion de fatigue physique. (score élevé dans le SAOS).
  • Le questionnaire de Berlin, développé pour le dépistage des apnées du sommeil dans une population de soins primaires, est largement utilisé.
  • L’échelle de somnolence d’Epworth a un score élevé dans le SJSR.
  • L’échelle de fatigue de Pichot a un score élevé dans le SJSR.

Étapes

  1. Données à rechercher
  2. Prise en charge
  3. Synthèse

Récapitulatif

Pathologie : Insomnie chronique

Situation : Adulte

Sévérité : Invalidante sévère

ATCD médicaux ou psychiatriques : NON

Addictions : NON

Médicaments : NON

Risque chute : NON

Risque activités : NON

Traitement hypnotique : Souhaité

Hypnotique choisi : Zopiclone (Imovane)

Pichot : Fatigue excessive (23/32)

Typologie : Insomnie secondaire à une pathologie organique

Berlin : Forte probabilité

Epworth : Pas de dette de sommeil (0/24)